Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inspiration lente, une pratique apparue d’un fait familial répété éternellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne23322.bloggin-ads.com/57433042/les-silhouette-qui-persistent