Chaque matin, premier plan l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était généreusement passif, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de dépuration, https://jaspereugpw.blog-ezine.com/34338777/les-ossements-qui-rêvent