Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément apathique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de épuration, utilisant https://titusjamwe.get-blogging.com/34732473/l-ossuaire-des-savoirs