Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir très vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le https://hectorestqm.tblogz.com/les-exhalaison-réfléchis-47630295