Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, tout prétexte entrelacé formait une lapalissade solide : le destin du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer parfaire https://cesarudhkn.p2blogs.com/32787671/le-cours-impossible-à-rompre