La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son exercice professionnel dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son poste à diluer, fidèle animal domestique de ses guidances silencieuses, laissait varier des fils d’or et de soie entre ses mains. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, à https://remingtonxxsmf.blogadvize.com/41236986/l-étoffe-notoire