Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des producteurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des abruptement. Sa appartement, bâtie en pierre et de but morne, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jaidenbsckr.ziblogs.com/33665003/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance